Le (petit) château est batit par les parents de Maria Belhomme de Morgny, épouse d'Édouard de Silvestre, sa soeur Flavie devant hériter du (grand) château de Mondétour.
Il semble que la construction n'ait pas été totalement achevée : deux ailes étaient prévues.
Franz le reçut en héritage de sa mère, Maria Belhomme de Morgny .
Sa première épouse, Suzanne Delpech de Saint Guilhem, y est décédée le 24 juin 1884 à l'âge de 28 ans. Voir l'article paru dans la semaine diocésaine de Rouen, où l'on découvre que lors des premières communions qui ont eu lieu le jour du décès de Suzanne Delpech de Saint Ghilhem, sur les 10 communiants , 5 avaient été habillés par cette dernière.
On retrouve Franz sur les listes électorales de 1903. La maison sera vendu par Jacques et sa soeur Henriette en 1918, lorsque Jacques s'installe à la Grange de Bellegarde.
Lorsque Franz dut faire état de sa fortune à son futur beau-père, en préalable au second marriage avec Madeleine d'Assier de Valenche le domaine comprenait les élements suivants :
Revenus | Estimations | |
Ferme de Cauvicourt | 2 700 | 69 789 |
Ferme de Crenaire? | 1 300 | 34 200 |
Ferme du Presbytère | 1 395 | 43 754 |
Ferme de Servillon | 1 300 | 37 140 |
Ferme de Salmonville | 1 300 | 31 084 |
Ferme de la Mare Noire | 1 700 | 53 642 |
Ferme du Chemin neuf | 360 | 9000 |
Ferme de Morgny | 5 200 | 160 457 |
Ferme de la Pommeraye | 4 200 | 145712 |
Ferme du Parc | 2 520 | 45 000 |
Ferme du Potager | 776 | 17 900 |
Bois de Salmonville, du Ricaud et des Pierres | 400 | 26 990 |
Bois de la Pommeraye | 700 | 40 000 |
Château et ses dépendances | 600 | 48 000 |
Le domaine sera vendu fin 1918 par Jacques de Silvestre (et peut-être sa soeur Henriette), peu avant son mariage.
On trouve Franz de Silvestre & sa seconde épouse Madeleine d'Assier ainsi que les enfants Henriette, Jacques et Edith.
On trouve Franz de Silvestre & sa seconde épouse Madeleine d'Assier,Pour les enfants Henriette et Edith ; Jacques est militaire depuis 1 an.
La cloche de l'église et une bannière de la vierge furent offertes - entre autres - par Franz et son épouse en Septembre 1889.
Voir l'article paru dans La Semaine religieuse du diocèse de Rouen.
On aperçoit les bannières ; Celle de droite, qui représente la Vierge, fut offerte par Franz de Silvestre et sa seconde épouse Madeleine d'Assier de Vallenche, ainsi que par les Marbot.
Voir l'article paru dans La Semaine religieuse du diocèse de Rouen.
Coupure du journal de Rouen.